Dans toutes les disciplines et dans tous les stades de France, un parti a balayé dès la première mi-temps dimanche dernier les anciens grands partis. Battue, souillée, humiliée, les mots ne sont plus assez forts pour mes maux.
Lundi, le réveil fut teinté d’amertume, après un choc bien pire que celui d’avril 2002, car cette fois-ci il ne s’agissait pas d’un cri de protestation contre les politiques actuelles mais d’un vote d’adhésion au Front national… – lire la suite sur le site du Huffington Post –