Sihem Souid, qui est franco-tunisienne, appelle avec émotion à combattre « ces fous » qui ont attaqué Tunis. Et livre son analyse de la situation.
« Sous Ben Ali, il n’y avait pas de terrorisme. » Cette idée distillée par des nostalgiques du régime autocratique mis à bas par une révolution populaire n’est rien de moins que simpliste. Parce que la Tunisie est en train de réussir sa transition vers la démocratie. Sans bain de sang, malgré la tragédie de mercredi…